A l'appel de Jacqueline, nous étions quelques uns, samedi 6 avril après midi, à avoir répondu "présents" afin de remettre un peu d'ordre dans les bâches supposées protéger les avions dans le hangar, mais qui ne protégeaient plus grand chose et qui "pendouillaient" lamentablement depuis quelque temps.
Il nous fallait, pour celà, un appareil pour monter au ciel... Une affaire de pilote, en somme. Amené par Gilbert, l'ami pilote paramotoriste et membre du conseil municipal de Ribérac, à l'heure dite, l'engin était là, piloté ensuite de main de maître par Jean-Pierre, l'ami pilote aéromodéliste. Hervé s'est mué de pilote d'ULM en voltigeur et a commandé sans discontinuer la manoeuvre du fond de son godet, assisté par Alain, et par Papy, qui s'est vu reprocher de ne pas faire de noeuds assez vite. Jean-Pierre, qui n'a rien trouvé de mieux à faire que de couper un fil de fer de près de 3 mm de diamètre avec un coupe ongles, a bien tenté d'éborgner Hervé à coup de fil de fer, mais n'a pas réussi. Il a quand même réussi à lui crever une narine, oui, mais une seule seulement. Tant pis pour le piercing...
Pendant ce temps-là, Jacqueline faisait le café, coupait la ficelle, démêlait le fil de fer, nettoyait la vaisselle et le frigo, rangeait les papiers (si, si, c'est possible), Dominique et Jean-François jouaient les techniciens de surface en famille pour évacuer du hangar les traces de l'engin au fur et à mesure, Jean-Luc tentait de ne pas perdre le fil au sol entre deux passages de tracteur-tondeuse sur la piste. Et on a vu, aussi, quelques pieds nickelés très intéressés par on ne sait trop quoi... Je ne veux dénoncer personne, mais Emilien n'a pas fait grand chose, et Jean-Claude et Nicole sont arrivés un peu tard: mais de toutes façons, il n'y avait plus de place dans le godet.
Hervé, très à l'aise dans son godet.
Surveillé de près par Jacqueline et Jean-Luc
Du pilotage des drones à celui d'un Manitou, il n'y a qu'un pas, et Jean-Pierre n'a pas fait de faux pas aux commandes.
Alors que tout se passe à quelques mètres en l'air, on se demande bien ce que regardent les pieds nickelés à hauteur du sol. Personne n'est tombé, pourtant.
Jean-François et Dominique, les habitués de l'éponge et de la peau de chamois sur l'avion, du balai et de la pelle dans le hangar, etc...
Alain et Hervé en plein travail.
Maintenant, les bâches bleues sont plus présentables, mais aussi plus protectrices pour nos chers coucous.
Merci à tous, et à bientôt pour partager, avec bien d'autres, le plaisir de voler.
/https%3A%2F%2Fprofilepics.canalblog.com%2Fprofilepics%2F3%2F7%2F373550.jpg)
La visite prévol effectuée par Stéphane a été attentivement suivie.
Le meilleur moment (avant les crêpes), c'est quand même le vol.
